Descendue de son socle, encordée et mise en caisse, elle prend la route du château de Valençay. Mais les autorités allemandes exigent la réouverture du musée afin que les chefs-d’œuvre des collections françaises soient de nouveau visibles.
En septembre 1940, le Louvre rouvre ainsi ses portes et la Vénus de Milo est présentée au public. Mais c’est en fait sa copie en plâtre. L’originale, en marbre, est à l’abri jusqu’à son retour en 1945.
Source : PICCINELLI Christophe, « La présentation de la Vénus de Milo de 1822 à nos jours », Média dossiers du Louvre : Exposer une œuvre au musée, louvre.fr (PDF), page 9 « La Vénus encordée », A. Sumpf